Logo Epoch Times

Opinion

plus-icon

L’ONU prend pour cible l’enseignement à domicile

Les Nations unies viennent de placer une gigantesque cible sur le dos des familles pratiquant l’enseignement à domicile à travers le monde.Sous couvert des « droits de l’homme », la controversée bureaucratie onusienne chargée de « l’éducation » exige officiellement que tous les gouvernements réglementent et contrôlent l’enseignement à domicile — s’ils continuent à l’autoriser tout court.

top-article-image

Siège de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) à Paris sur une photo d’archives.

Photo: Jacques Demarthon/AFP via Getty Images

author-image
Partager un article

Durée de lecture: 24 Min.

Les exigences de l’ONU incluent l’instauration de « normes éducatives » pour l’école à la maison ainsi qu’une « responsabilité » accrue vis-à-vis des autorités gouvernementales.
L’organisation demande également l’enregistrement obligatoire des « évaluations » imposées aux élèves scolarisés à domicile, des visites à domicile obligatoires, et bien plus encore.
En réalité, l’agence va jusqu’à réclamer que des valeurs et attitudes approuvées par l’ONU soient imposées aux enfants dans de nombreux domaines, en exerçant un contrôle sur le « contenu éducatif ».
Le nouveau rapport de l’UNESCO consacré à l’enseignement à domicile, intitulé « Homeschooling Through a Human Rights Lens » (L’école à la maison sous l’angle des droits de l’homme), présente en détail cette offensive mondiale sans précédent.
Cette puissante agence internationale, longtemps dominée par des communistes déclarés, affirme que les gouvernements doivent soumettre l’enseignement à domicile à leur autorité — pour le bien des enfants, bien entendu.
Sans surprise, la principale responsable onusienne impliquée dans cette initiative est originaire de la « République populaire démocratique de Corée » (RPDC), plus connue sous le nom de Corée du Nord.
D’après les remerciements figurant dans le rapport, celui-ci a été rédigé sous la « supervision » de Chang Gwang Chol, chef de la Section des politiques éducatives de l’UNESCO.
Avant de rejoindre les Nations unies pour contribuer à « transformer » l’éducation à l’échelle mondiale, M. Chang travaillait pour le ministère nord-coréen de l’Éducation, une structure connue pour diriger l’un des systèmes de lavage de cerveau communiste les plus complets de l’histoire.
Et pourtant, sans la moindre ironie, les contrôles gouvernementaux exigés par M. Chang et ses collaborateurs sont présentés comme nécessaires pour garantir ce que l’organisation décrit comme des « droits de l’homme internationaux ». Oui, sérieusement.
Si cette offensive n’est pas stoppée, les parents — et même les écoles privées — qui refusent de se conformer aux exigences de l’ONU pourront être accusés de violer les « droits de l’homme » des enfants.
Les appels à un contrôle total sont explicites et présentés comme obligatoires : « Les gouvernements doivent mettre en place des mécanismes de surveillance tels que l’enregistrement et les évaluations », déclare le rapport, tout en réclamant un renforcement des « capacités réglementaires ».
« À mesure que l’enseignement à domicile continue d’évoluer, il devient crucial d’adopter une approche fondée sur les droits », poursuit le document, mettant en avant la « nécessité d’une éducation de qualité » telle que définie par l’ONU, grâce à l’établissement de « normes minimales d’éducation et de mécanismes de responsabilité ».

Contrôler ce qui est enseigné

Le rapport onusien précise clairement que même le contenu pédagogique utilisé dans l’enseignement à domicile doit être conforme aux orientations de l’ONU.
« Le contenu éducatif fourni dans le cadre de l’école à la maison doit être aligné sur les objectifs éducatifs définis par la Convention relative aux droits de l’enfant », explique le document, tout en reconnaissant que le gouvernement américain n’est pas partie à cet accord international.
Parmi les « éléments clés » cités par l’ONU pour s’assurer que l’enseignement à domicile favorise le « bien-être de l’enfant », figure l’exposition obligatoire à la diversité culturelle.
L’Agence mondiale de l’éducation affirme également que des « préoccupations » persistent quant au manque supposé d’exposition à des perspectives diverses et aux effets potentiels sur la cohésion sociale.
En d’autres termes, si vos enfants ne reçoivent pas suffisamment d’instruction liée aux questions LGBT ou à la théorie critique de la race, leurs « droits humains » présumés à la « socialisation » et à une « éducation de qualité » seraient bafoués.
Cette interprétation n’est pas une spéculation : la Rapporteuse spéciale des Nations unies sur le droit à l’éducation, Farida Shaheed, a récemment critiqué des États comme la Floride et le Texas pour avoir cherché à protéger les enfants contre ce type d’endoctrinement idéologique.
« Les lois de censure restreignant les discussions en classe sur la race, l’identité de genre et d’autres ‘concepts clivants’ limitent l’accès des élèves à des connaissances essentielles », a-t-elle affirmé.
Le nouveau rapport de l’ONU soutient que les enfants doivent impérativement être formés à des valeurs approuvées par les Nations unies, telles que la « citoyenneté mondiale » et le « respect de la diversité », une expression fréquemment utilisée par l’ONU pour promouvoir des idéologies dites « progressistes » et la confusion des genres.
Le document cite même un accord onusien qui exigerait des gouvernements qu’ils encouragent « le développement du respect » pour la Charte des Nations unies. Ce texte très controversé a été en grande partie façonné par le dictateur soviétique Joseph Staline et ses agents américains, notamment Alger Hiss.
L’éducation à la sexualité « complète », visant à façonner les attitudes et valeurs des enfants en accord avec celles promues par l’ONU, est également présentée comme essentielle dans le rapport.
L’agence argue que les gouvernements ont l’obligation de garantir une « éducation de qualité » à domicile, telle que définie par l’ONU et les autorités nationales.
Pour balayer des décennies de recherches démontrant que les enfants instruits à la maison réussissent généralement mieux sur les plans scolaire et social que ceux des écoles publiques, le rapport se contente d’affirmer que ces études comporteraient des « défauts méthodologiques ».

Droits parentaux et famille

En écho aux principes défendus par des tyrans tels que Staline, Mao, Hitler ou encore la dynastie Kim en Corée du Nord, le rapport affirme que les gouvernements sont les « principaux dépositaires des obligations » en matière d’éducation des enfants.
Dans la mesure où les parents sont autorisés par l’État à instruire leurs enfants eux-mêmes, les gouvernements doivent s’assurer que cette éducation respecte les exigences de l’ONU.
Pour garantir cette conformité, le document préconise la mise en place de « formations obligatoires » dispensées par les autorités aux parents souhaitant pratiquer l’enseignement à domicile.
Le rapport se plaint également que l’éducation devrait rendre « les avantages liés au milieu familial d’un enfant sans effet sur ses perspectives d’avenir ».
Or, selon lui, l’enseignement à domicile pourrait ne pas répondre à cet objectif, comme si neutraliser les efforts parentaux pour aider leurs enfants à réussir relevait d’un objectif légitime de l’État.
Même le fait que les mères soient généralement les principales enseignantes dans le cadre de l’école à la maison est critiqué par l’ONU, qui y voit une perpétuation de « rôles de genre nuisibles ».
Le rôle traditionnel des pères et maris comme principaux pourvoyeurs est également condamné, au motif que cela conduirait les femmes et les mères à assumer une part jugée « disproportionnée » des « tâches domestiques non rémunérées » — autrement dit, ce que l’humanité a toujours considéré comme la maternité et l’éducation des enfants.
Quelle horreur !
« L’enseignement à domicile doit respecter l’égalité entre les sexes en évitant la reproduction des rôles traditionnels, en promouvant le partage des responsabilités et en veillant à ce que les programmes d’études remettent en question les stéréotypes », conclut le rapport.
Les familles américaines pratiquant l’école à la maison constituent une cible prioritaire, comme le souligne explicitement le document.
En pointant du doigt les États américains où la réglementation est plus souple, l’ONU prétend que des « inquiétudes ont été exprimées » selon lesquelles les gouvernements pourraient ne pas prendre des mesures suffisantes pour « protéger les enfants de leurs propres parents ».
Dans cette optique, l’organisation exige que les États fournissent un « soutien parental », un euphémisme pour désigner un contrôle accru des familles par l’État.
« Dans les pays où l’enseignement à domicile est autorisé, de telles mesures de soutien pourraient inclure : des programmes de formation ; l’accès à des ressources pédagogiques ; des lignes directrices ; des visites à domicile périodiques ; ou encore des forums d’échanges entre pairs permettant aux parents d’assurer à la fois le droit de l’enfant à une éducation de qualité et la conformité aux normes minimales définies par l’État », affirme l’UNESCO.
S’appuyant sur divers comités et documents onusiens, le rapport va jusqu’à exhorter les gouvernements à criminaliser les châtiments corporels, y compris la fessée.
« Les États doivent donc interdire les châtiments corporels dans tous les contextes, y compris au sein du foyer », déclare le document, tout en reconnaissant que plus de 130 gouvernements ne s’y sont pas encore conformés.

Chrétiens et enseignement religieux dans le collimateur

Les familles pratiquant l’enseignement religieux à domicile sont particulièrement visées. L’ONU estime en effet que « des approches dogmatiques peuvent attiser l’intolérance ».
Le rapport cite une étude de 2018 qui définit ces approches comme celles qui « ne se contentent pas d’un seul cours sur la religion, mais cherchent à ce que toutes les disciplines soient enseignées à travers le prisme de leur foi particulière ».
En d’autres termes, les parents souhaitant réellement transmettre leur foi à leurs enfants doivent être empêchés de le faire.
D’innombrables familles chrétiennes faisant l’école à la maison, ainsi que de nombreuses écoles chrétiennes cherchant à inculquer une vision du monde biblique, entreraient dans cette catégorie.
Même les acteurs privés, comme les entreprises proposant des contenus numériques utilisés dans le cadre de l’enseignement à domicile, devraient être soumis à une réglementation stricte, selon le rapport.
« Sans régulation, les contenus éducatifs en ligne pourraient promouvoir les agendas problématiques de groupes ayant des intérêts particuliers », affirme le document — comme si les politiciens ou les dictateurs chargés de cette régulation n’avaient jamais, eux-mêmes, d’agendas ou d’intérêts douteux.

Fondements dans le “droit international”

Le rapport de l’UNESCO fonde ses arguments sur un vaste éventail d’accords, de déclarations et de conventions des Nations unies, qu’il prétend imposer comme des obligations contraignantes pour les gouvernements nationaux.
Parmi ces textes figure notamment la Convention relative aux droits de l’enfant, jamais ratifiée par les États-Unis.
Et pour cause : cette convention exige que toutes les décisions concernant les enfants soient prises dans leur « intérêt supérieur ».
Mais il y a un piège majeur : c’est le gouvernement et l’ONU, et non les parents, qui définissent ce qu’est cet « intérêt supérieur ».
Lorsqu’un dispositif similaire a été mis en place en Écosse, les législateurs ont désigné une « personne nommée », employée par le gouvernement, chargée de superviser l’éducation et l’épanouissement de chaque enfant de la naissance à l’âge adulte.
D’autres accords cités par l’ONU posent des problèmes tout aussi graves.
La Déclaration universelle des droits de l’homme, principal instrument onusien en la matière, a été profondément influencée par le régime soviétique, responsable de massacres massifs.
Elle contient donc des dispositions incompatibles avec la liberté.
L’article 29, par exemple, stipule que « les droits et libertés ne peuvent en aucun cas être exercés contrairement aux buts et principes des Nations unies ».
Il n’est donc pas surprenant que le Parti communiste chinois (PCC) et d’autres régimes autoritaires à travers le monde puissent se réclamer des « droits de l’homme » de l’ONU tout en terrorisant et assassinant leurs propres citoyens.
À l’inverse, la conception américaine des droits est radicalement différente.
Les Pères fondateurs des États-Unis s’appuyaient sur l’idéal biblique et sur la « vérité évidente » selon laquelle Dieu — et non le gouvernement — a doté chaque être humain de « droits inaliénables » : la vie, la liberté et la propriété.
Et puisque ces droits ne proviennent pas de l’État, celui-ci ne peut légitimement les restreindre.
Cette vision des droits humains est diamétralement opposée à celle défendue par l’ONU et le PCC.
En matière d’éducation, la Déclaration universelle est également problématique.
L’article 26 affirme que l’« éducation » obligatoire est un « droit humain ».
Or, par définition, ce qui est obligatoire ne peut être un droit, malgré les efforts soviétiques et chinois pour redéfinir le concept.
Plus inquiétant encore : une autre disposition de ce même article stipule que l’éducation obligatoire « doit promouvoir les activités des Nations unies ».
Pris au pied de la lettre, cela signifie que tout parent pratiquant l’école à la maison ou toute école privée qui refuserait de promouvoir l’agenda onusien violerait les « droits humains » des enfants.

L’ONU contre la Constitution américaine

L’ONU affirme que ces restrictions imposées à l’enseignement à domicile sont obligatoires en vertu du « droit international des droits de l’homme ».
Mais, du moins en ce qui concerne les États-Unis, cette affirmation repose sur une interprétation profondément erronée du droit constitutionnel américain.
La Constitution des États-Unis stipule effectivement que les traités dûment ratifiés font partie de la « loi suprême du pays ».
Cependant, elle ajoute une précision cruciale : ces traités, tout comme les lois fédérales, doivent être « conclus conformément à la Constitution ».
En d’autres termes, aucun traité ou loi fédérale ne peut contredire la Constitution qui a créé le gouvernement fédéral.
S’il existe une contradiction, comme les rédacteurs de la Constitution l’ont répété à de nombreuses reprises, le traité ou la loi est nul et non avenu.
Or, rien dans la Constitution américaine n’autorise le gouvernement fédéral à imposer une quelconque forme d’endoctrinement pro-ONU ou d’« éducation » à des enfants.
Bien au contraire, le dixième amendement réserve explicitement tous les pouvoirs non délégués à Washington aux États ou au peuple.
Ainsi, sans amendement constitutionnel dûment ratifié, tout accord onusien contraire à la Constitution est dépourvu de toute validité juridique, qu’il ait été signé et ratifié ou non.
Le président Thomas Jefferson l’a clairement expliqué dans une lettre datée du 7 septembre 1803 adressée au sénateur Wilson Cary Nicholas :
« Je dis la même chose à propos de ceux qui considèrent que le pouvoir de conclure des traités est illimité. S’il l’est, alors nous n’avons plus de Constitution. »
La Cour suprême a confirmé cette évidence dans sa décision historique de 1957, Reid v. Covert, en rappelant que la Constitution américaine prime sur les traités internationaux.
De plus, même si le gouvernement fédéral possédait l’autorité constitutionnelle pour ratifier de tels accords, il n’a pas le pouvoir d’obliger les gouvernements des États et des collectivités locales à s’y conformer.
Dans l’arrêt historique Printz v. United States (1997), la Cour a jugé que le gouvernement fédéral ne peut « réquisitionner » les autorités des États ou locales.
Cette jurisprudence reste pleinement en vigueur aujourd’hui.

Les critiques s’expriment

Diane Douglas, ancienne surintendante de l’Instruction publique en Arizona, aujourd’hui voix critique de l’éducation publique et de l’influence de l’ONU, a vivement dénoncé les velléités de l’agence onusienne visant à « prendre le contrôle de l’enseignement à domicile ».
En s’opposant aux appels de l’UNESCO à une réglementation accrue, elle a déclaré à Epoch Times que les parents choisissaient à juste titre l’école à la maison pour protéger leurs enfants précisément contre l’endoctrinement et l’extrémisme que l’ONU cherche à imposer.
« Nos droits d’élever et d’instruire nos enfants viennent de Dieu, pas de l’UNESCO ni d’un quelconque gouvernement cherchant à s’immiscer dans notre autorité parentale », a-t-elle affirmé.
Lauren Gideon, directrice des affaires gouvernementales pour l’initiative Education Independence de Classical Conversations, un réseau majeur de familles pratiquant l’enseignement à domicile, a également fustigé la démarche de l’UNESCO.
« Le concept même de l’enseignement à domicile repose sur deux piliers solidement entrelacés : le droit naturel, conféré par Dieu, des parents à diriger l’éducation de leurs enfants, et le droit des éducateurs autofinancés à administrer leur propriété éducative privée sans intrusion de l’État dans la sphère familiale », a-t-elle déclaré à Epoch Times.
« La liberté elle-même repose sur cette distinction entre la sphère publique et la sphère privée. Sur cette base, la liberté parentale est garantie dans la tradition américaine, qui présume l’innocence jusqu’à preuve du contraire selon une procédure régulière. Toute violation de ces limites, déjà observable dans certains États, est explicitement anti-américaine. »
Les appels de l’UNESCO à l’enregistrement, au contrôle et à l’évaluation des familles pratiquant l’école à la maison constituent, selon elle, une violation manifeste de ce principe fondamental :
« Ces mesures présument la culpabilité des parents avant leur innocence, sapant ainsi la procédure régulière qui est au cœur même de la liberté américaine », a-t-elle conclu, ajoutant que les propositions de l’ONU porteraient atteinte à « l’ossature même de la liberté américaine ».
Tiffany Boyd, de l’organisation Free Your Children, a expliqué à Epoch Times que l’objectif ultime de l’UNESCO est de s’assurer un « contrôle total de l’éducation, y compris sous toutes ses formes privées ».
« L’UNESCO a clairement indiqué qu’elle persisterait jusqu’à obtenir un contrôle complet sur l’éducation privée », a-t-elle averti.
« Nous devons les arrêter net. »

Les Américains doivent résister

Un détail est particulièrement frappant : l’Home School Legal Defense Association (HSLDA), la plus grande organisation mondiale de défense juridique des familles pratiquant l’enseignement à domicile, n’a pas été consultée pour l’élaboration du rapport.
De même, le National Home Education Research Institute, la plus importante base de données sur la recherche dans ce domaine, a été exclu.
Heureusement pour les familles et pour l’éducation authentique, l’administration Trump a déjà annoncé que les États-Unis coupaient à nouveau leurs liens avec l’UNESCO, en invoquant notamment son extrémisme et son hostilité aux valeurs américaines.
C’est la troisième fois que Washington se retire de l’agence.
Mais la menace demeure. Le président Joe Biden a rapidement réengagé les États-Unis auprès de l’UNESCO après son arrivée au pouvoir — et un futur président pourrait faire de même.
Même après l’annonce du retrait par l’administration Trump, la directrice générale de l’UNESCO, une socialiste de longue date, a fièrement affirmé que l’organisation continuerait à travailler avec ses « partenaires » américains malgré tout.
Par ailleurs, aucun des arguments juridiques avancés dans le rapport ne dépend de l’adhésion ou non des États-Unis à l’UNESCO.
L’offensive dangereuse de l’ONU contre l’enseignement à domicile — et plus largement contre la liberté éducative — doit être fermement combattue et rejetée.
Les parents disposent d’un droit fondamental d’éduquer et d’élever leurs enfants, et les États américains disposent déjà de cadres juridiques robustes pour protéger les enfants contre les abus et la négligence.
Le peuple américain n’a pas besoin des conseils d’un bureaucrate nord-coréen ni d’une agence onusienne aux mains d’idéologues extrêmes pour organiser son système éducatif.
Et surtout, personne n’aime ni ne connaît mieux les enfants que leurs propres parents.
Mais une question fondamentale demeure :
Qui façonnera le cœur et l’esprit de la prochaine génération ?
Sera-ce une élite de bureaucrates totalitaires, de politiciens et de dictateurs réunis sous la bannière de l’ONU ?
Ou des familles américaines attachées à la liberté et à l’éducation de leurs enfants ?
L’avenir de la liberté et de l’éducation véritable dépend de la résistance à cette offensive.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

Alex Newman est un contributeur indépendant pour Epoch Times. Newman est un journaliste international primé, éducateur, auteur et consultant qui a coécrit le livre « Crimes of the Educators: How Utopians Are Using Government Schools to Destroy America’s Children » (Les crimes des éducateurs : comment les utopistes utilisent les écoles publiques pour détruire les enfants américains). Il écrit pour diverses publications aux États-Unis et à l'étranger.

Articles actuels de l’auteur