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“Les crucifix ont tous été cassés” : il retrouve la maison de sa grand-mère squattée et saccagée par des migrants clandestins

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Photo: : PHILIPPE HUGUEN/AFP/Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

« C’est dégueulasse, ça pue et ils ont tout cassé », s’indigne le petit-fils de la propriétaire décédée.
Âgée de 98 ans, la grand-mère de Michel Pradeilles est décédée au début du mois de janvier. Cette dernière avait été placée sous tutelle à la maison de retraite les Cascades à Béziers. Seul héritier des biens de la défunte, M. Pradeilles, qui n’avait aucun contact avec son aïeule, s’est rendu au domicile de cette dernière. En pénétrant l’habitation située boulevard de Tassigny, le petit-fils a été fâcheusement surpris.
La maison avait été squattée et saccagée sans que personne n’intervienne, ni ne signale une présence illégale, relate Midi Libre. « C’est dégueulasse, ça pue et ils ont tout cassé« , a déclaré Michel Pradeilles face à l’ampleur des dégâts.

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« Nous savions que c’était squatté. Mais ce n’est pas chez nous »
Tout en explorant les lieux, l’héritier a finalement découvert des documents administratifs concernant des migrants clandestins qui avaient occupé le logement depuis le mois d’octobre dernier. « J’ai retrouvé sur place des avis d’obligation de quitter le territoire national émanant de la préfecture de l’Hérault ».
Profondément choqué, Michel Pradeilles n’en revient toujours pas : « Les crucifix de ma grand-mère ont tous été brisés, c’est dégueulasse ».
Personne n’a signalé les faits et tout le monde a préféré fermer les yeux. Les voisins, au courant, ont répliqué : « Nous savions que c’était squatté. Mais ce n’est pas chez nous ». Quant à la tutrice, elle ne s’est occupée de rien. « Si c’est ça les tutelles, c’est une honte. Ma grand-mère payait 2200 euros à la maison de retraite et 280 euros à l’association tutrice pour s’occuper de ses biens. Je suis dégoûté », a expliqué M. Pradeilles au quotidien.