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Le film «Barbie» provoque une pénurie mondiale de rose chez un géant de la peinture

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Greta Gerwig, America Ferrera, Ryan Gosling et Margot Robbie parlent sur scène alors qu'ils font la promotion du prochain film "Barbie" lors de la présentation du studio Warner Bros.

Photo: Ethan Miller/Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

Pour le géant de la peinture Rosco, la réalisation du film Barbie a provoqué une pénurie mondiale… de peinture rose.
Le film de Greta Gerwig, dont la sortie dans les salles françaises est prévue pour le 19 juillet prochain, est très attendu. Pour fabriquer les décors, il a fallu une quantité de peinture telle qu’il n’y avait plus de rose « flashy » chez Rosco.
« Nous leur avons donné tout ce que nous pouvions »
Le long métrage consacré à la célèbre poupée Mattel – dont le succès auprès des enfants du monde entier n’est plus à prouver – a été tourné en 2022. Dans le rôle de Barbie, l’actrice et productrice australienne Margot Robbie et dans celui de Ken, l’acteur, réalisateur et musicien canadien, Ryan Gosling.
Le décor de Barbieland, monté dans les studios Warner Bros de Londres, n’était donc composé que de rose, ou presque, des pièces de la maison au mobilier en passant par les accessoires, la vaisselle ou encore la voiture de Barbie. « Nous leur avons donné tout ce que nous pouvions », a indiqué auprès du Los Angeles Times Lauren Proud, la vice-présidente du marketing mondial de l’entreprise. Elle a effectivement confirmé qu’il y avait une pénurie depuis lors.
« Le monde a manqué de rose »
Sarah Greenwood, la conceptrice du film, a expliqué à Architectural Digest – un magazine spécialisé en architecture – qu’il était « primordial de conserver l’aspect enfantin du lieu ». En effet, elle ne souhaitait pas « oublier ce qui [lui] a fait aimer Barbie quand [elle] était petite fille ». « Je voulais que les roses soient très vifs et que tout soit presque trop », a-t-elle confié.

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Pour autant, le film de Greta Gerwig ne serait pas le seul responsable de cette pénurie. La crise résultant de la pandémie de Covid a notamment entraîné des difficultés d’approvisionnement, selon Lauren Proud. Dans un tweet, l’ancienne présentatrice de l’émission D&CO sur M6 Valérie Damidot a plaidé : « Pour une fois, je n’y suis pour rien. »