Un chat meurt après avoir été aspergé de peinture jaune en Suisse
Une photo d'illustration d'un chat
Photo: Shutterstock
Un vieux chat est mort après avoir été aspergé avec une peinture jaune imperméable, selon des informations publiées cette semaine.
Le chat, du nom de Miggeli, a été ciblé avec de la peinture jaune à Biel-Benken, en Suisse, cette semaine, a rapporté The Metro.
Selon l’article, l’agresseur de l’animal s’en serait pris à d’autres animaux plusieurs fois au cours de la semaine dernière. La personne n’a pas été identifiée.
Selon Sina Kunz, propriétaire de Miggeli, son chat a été ciblé parce que c’est un vieux chat.
Elle raconte avoir vu du liquide jaune partout sur l’animal, dès qu’elle est rentrée le week-end dernier.
« Tout son corps, et surtout sa face, avait été aspergé de peinture jaune imperméable », a déclaré Sina Kunz, citée par The Metro.
Les photos montrent que l’animal a été entièrement arrosé avec une substance jaune, y compris sa face et son nez.
Le chat est mort environ trois jours après avoir été pulvérisé. D’après The Metro, le chat s’était retrouvé dans un état critique peu de temps après l’incident.
Sina Kunz a déclaré qu’elle avait signalé l’attaque à la police, ajoutant qu’elle pensait qu’un agresseur présumé avait pris pour cible des animaux dans la région.
Un autre chat, Haxli, a été ciblé, selon le journal. Une grande partie de sa fourrure avait été rasée, ses griffes et ses moustaches coupées. D’après le vétérinaire, l’animal semblait avoir été rasé avec un rasoir.
Dans la région, un autre chat a également été maltraité. Les pattes de l’animal semblaient avoir été cassées.
« Une personne normale ne ferait pas des choses pareilles (…) Je pense que celui qui a fait ça a vraiment besoin d’aide », a déclaré le vétérinaire cité par The Metro.
Un porte-parole de la police a dit qu’ils enquêtaient sur les incidents.
Selon le site internet britannique Unilad, le porte-parole de la police a déclaré que l’attaque sur Miggeli a eu lieu à environ 8 km de l’endroit où les deux autres attaques s’étaient déroulées. Ils ont suggéré qu’il pourrait s’agir d’une ou de plusieurs autres personnes responsables de maltraitance.
Selon la SPA, les mauvais traitements infligés aux animaux sont courants dans cette région, au niveau rural et urbain.
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